Par Jean-David Boussemaer, le 7 octobre 2025 - 10 min de lecture

Customer Effort Score (CES) : définition, calcul et limites

Dans un marché où la concurrence se joue souvent à quelques clics près, l’expérience client est devenue un levier stratégique majeur. Pourtant, trop d’entreprises continuent de mesurer la satisfaction uniquement à travers le prisme du plaisir ou de la fidélité, en oubliant un facteur clé : l’effort fourni par le client.

Customer Effort Score (CES) définition, calcul et bonnes pratiques

1. En résumé

  • Le Customer Effort Score (CES) mesure la facilité avec laquelle un client parvient à accomplir une action - commander, obtenir une réponse ou résoudre un problème.
  • Plus l’effort perçu est faible, plus la fidélité client est forte : la simplicité favorise la satisfaction durable.
  • Le CES complète les indicateurs traditionnels comme le NPS (fidélité) et le CSAT (satisfaction immédiate) en se concentrant sur la friction réelle vécue par le client.
  • Il se mesure généralement par une question unique, posée juste après une interaction clé, sur une échelle de 1 à 5 ou de 1 à 7.
  • Simple à mettre en œuvre, le CES permet de détecter rapidement les irritants et d’améliorer l’expérience client de manière concrète et mesurable.

2. Définition et origine du Customer Effort Score (CES)

Le Customer Effort Score (CES), ou score d’effort client, est un indicateur de performance utilisé pour mesurer la facilité avec laquelle un client parvient à réaliser une action au sein d’une entreprise : effectuer un achat, obtenir une information, résoudre un problème, contacter le service client, etc.

Contrairement au Net Promoter Score (NPS), qui mesure la propension à recommander une marque, ou au Customer Satisfaction Score (CSAT), qui évalue la satisfaction émotionnelle, le CES se concentre sur un aspect plus rationnel : l’effort perçu.

L’idée fondatrice du CES repose sur une hypothèse simple mais puissante : moins un client fournit d’effort, plus il est susceptible de rester fidèle. À l’inverse, une expérience jugée compliquée ou laborieuse crée de la frustration et augmente le risque de churn.

Le concept a été popularisé en 2010 par une étude du Corporate Executive Board (CEB) publiée dans la Harvard Business Review sous le titre évocateur : « Stop Trying to Delight Your Customers ». Cette recherche montrait que la fidélisation ne dépendait pas tant de la capacité à « enchanter » les clients que de celle à réduire les frictions dans leurs interactions.

Depuis, le CES s’est imposé comme une métrique essentielle dans la gestion de l’expérience client (Customer Experience Management), notamment dans les entreprises digitales, les services clients et les plateformes e-commerce. Sa simplicité, sa pertinence et sa dimension opérationnelle en font un indicateur central pour toutes les organisations cherchant à fluidifier leurs parcours clients.

3. Comment mesurer le CES ?

Le principe : une question unique

Le CES se base généralement sur une seule question, posée immédiatement après une interaction clé avec l’entreprise.

Exemples de formulations courantes :

  • « Quel niveau d’effort avez-vous dû fournir pour résoudre votre problème ? »
  • « L’entreprise vous a-t-elle permis de gérer votre demande facilement ? »
  • « Il a été facile pour moi de trouver la réponse à ma question. Êtes-vous d’accord avec cette affirmation ? »

Cette approche minimaliste vise à obtenir un feedback à chaud, lorsque le souvenir de l’expérience est encore frais et précis.

L’échelle de notation

Deux formats sont principalement utilisés :

  • Échelle de 1 à 5 (ou 1 à 7) : le score 1 correspond à un effort très faible et le score maximal à un effort très élevé.
  • Échelle de type Likert (accord/désaccord) : « Tout à fait d’accord » ; « Plutôt d’accord » ; « Neutre » ; « Plutôt pas d’accord » ; « Pas du tout d’accord »

Le choix de l’échelle dépend de la culture de l’entreprise et de la clarté souhaitée. L’important est de garder la même méthode dans le temps pour suivre l’évolution de l’indicateur.

Le calcul du CES

Formule : CES = somme des notes / nombre total de réponses

Par exemple, si 100 clients attribuent une note moyenne de 2,8 sur 5, cela signifie qu’en moyenne, l’effort perçu est modéré. L’objectif est donc de réduire progressivement cette moyenne, en cherchant à rapprocher les résultats du score minimal (faible effort).

Certaines entreprises préfèrent convertir le CES en pourcentage de réponses « positives » (effort faible ou accord fort), selon la logique de leur reporting.

Le moment idéal pour poser la question

Le CES est d’autant plus pertinent qu’il est mesuré au bon moment. Il doit être envoyé immédiatement après une interaction concrète, par exemple :

  • après un appel ou un chat avec le service client ;
  • après une commande ou un retour produit ;
  • après une inscription ou une demande d’information en ligne.

Un délai trop long fausserait les réponses, car le client aurait oublié les détails de l’expérience.

Compléter le score par des verbatims

Pour comprendre pourquoi un client a attribué une note donnée, il est essentiel d’ajouter une question ouverte : « Qu’est-ce qui vous a semblé le plus difficile dans cette démarche ? »

Ces verbatims apportent une richesse qualitative qui permet d’identifier les véritables sources de friction : navigation confuse, délais de réponse, procédures trop complexes, etc.

Fréquence et intégration

Le CES ne doit pas être mesuré ponctuellement. Intégré dans un programme global de voix du client, il devient un indicateur de pilotage à long terme.

Un suivi mensuel ou trimestriel, selon le volume d’interactions, permet de repérer les tendances et d’évaluer l’impact des actions correctives mises en place.

4. Interprétation et comparaison avec les autres indicateurs (NPS, CSAT)

Le Customer Effort Score (CES) ne se lit pas isolément. Pour tirer tout son sens, il doit être interprété en complément d’autres indicateurs clés de l’expérience client, comme le Net Promoter Score (NPS) et le Customer Satisfaction Score (CSAT). Ensemble, ils offrent une vision complète du ressenti client : émotion, fidélité et effort.

Interpréter le CES : un baromètre de la friction

Le CES mesure avant tout le niveau de friction perçu dans une interaction donnée. Un score faible (proche de 1 sur une échelle de 1 à 5) signifie que le client a vécu une expérience fluide, intuitive et sans obstacle. À l’inverse, un score élevé révèle des irritants : procédures trop longues, interfaces peu claires, temps d’attente, manque d’autonomie…

Ainsi, le CES ne dit pas seulement si le client est satisfait, mais pourquoi il pourrait ne plus l’être demain. C’est un outil de détection précoce des irritations qui dégradent la relation client.

Le CES face au NPS et au CSAT : trois angles complémentaires

Indicateur Objectif principal Moment de mesure Type de ressenti mesuré
NPS (Net Promoter Score) Mesurer la propension à recommander la marque À froid, après plusieurs interactions ou une expérience globale Attachement émotionnel, fidélité
CSAT (Customer Satisfaction) Évaluer la satisfaction d’un client à un instant T À chaud, juste après une interaction Satisfaction immédiate
CES (Customer Effort Score) Mesurer la facilité perçue dans une action précise À chaud, après une démarche spécifique Effort rationnel, friction

Le CES se distingue par sa dimension pragmatique et opérationnelle. Là où le NPS reflète un sentiment global de fidélité, et le CSAT une satisfaction instantanée, le CES met en lumière la simplicité d’usage et la facilité d’accès à un service.

Les seuils de référence

Il n’existe pas de norme universelle, mais quelques repères peuvent guider l’analyse :

  • 1 à 2 : excellente fluidité, effort minimal.
  • 3 : expérience moyenne, quelques frictions.
  • 4 à 5 : effort important, expérience à améliorer.

La tendance est souvent plus significative que le score brut : une amélioration continue du CES témoigne d’une optimisation réelle du parcours client.

Pourquoi le CES est-il devenu central ?

Le CES est aujourd’hui considéré comme un indicateur prédictif de la fidélité client. Selon les études du CEB, les clients qui estiment qu’une entreprise facilite leurs démarches sont :

  • 2,4x plus susceptibles de rester fidèles,
  • 2x plus enclins à augmenter leurs dépenses,
  • 4x moins susceptibles de parler négativement de la marque.

En d’autres termes, la fidélisation ne repose pas sur la capacité à « enchanter » les clients, mais à ne pas les épuiser.

5. Les bonnes pratiques pour exploiter efficacement le CES

Le CES doit être utilisé au bon endroit du parcours client. Les moments les plus pertinents sont ceux où le client interagit directement avec votre entreprise :

  • contact avec le service client (par téléphone, chat ou email) ;
  • achat ou souscription en ligne ;
  • demande de remboursement, de modification de contrat, ou procédure SAV ;
  • retour produit ou résiliation.

L’objectif est de capter l’effort réel dans les étapes sensibles du parcours.

Le CES repose sur la simplicité : une seule question bien formulée et une question ouverte facultative suffisent. Trop d’entreprises alourdissent leurs enquêtes, provoquant l’effet inverse : le client se lasse et n’y répond plus. Une enquête courte = un taux de réponse élevé et des données plus exploitables.

Le CES doit être recueilli immédiatement après l’interaction pour garantir une réponse fidèle. Une enquête envoyée plusieurs jours plus tard perd en pertinence, car le client oublie les détails de son expérience.

Les chiffres seuls ne suffisent pas. Les commentaires libres permettent d’identifier les irritants précis : « Le formulaire était trop long », « J’ai attendu trop longtemps au téléphone », « Je n’ai pas trouvé où cliquer ». L’analyse sémantique de ces retours est une mine d’or pour repenser les parcours et améliorer les processus internes.

Le CES n’a de valeur que s’il est suivi dans le temps. Comparer les scores entre périodes, équipes ou canaux (ex. téléphone vs chat) aide à repérer les progrès et à prioriser les actions correctives. L’idéal : intégrer le CES dans un programme de Voix du Client (VoC), au même titre que le NPS et le CSAT.

Le CES n’est pas qu’un outil de mesure du ressenti - il peut devenir un levier de performance. Croiser les données CES avec des indicateurs concrets (taux de réachat, résiliation, panier moyen, coût du support) permet de démontrer un lien direct entre effort perçu et résultats économiques.

6. Les limites et points de vigilance du CES

  • Le CES évalue une interaction précise, pas la relation globale. Un score bas sur un point de contact ne signifie pas forcément que le client est globalement fidèle, ni qu’il recommande votre marque.
  • Le résultat dépend fortement de la formulation de la question. « Quel niveau d’effort avez-vous dû fournir ? » et « Il a été facile pour moi de… » ne donnent pas toujours les mêmes réponses. Les entreprises doivent donc choisir une formulation claire et constante pour assurer la comparabilité des résultats.
  • La perception de « l’effort » varie selon les secteurs et les cultures. Un processus jugé fluide dans la banque peut sembler complexe dans l’e-commerce. Il est donc important d’établir des référentiels internes plutôt que de se comparer à des standards externes.
  • Un CES élevé (effort fort) ne signifie pas forcément une mauvaise expérience : un client peut juger un processus exigeant mais nécessaire (par exemple, pour des raisons de sécurité ou de conformité). Le CES doit donc être corrélé avec des données qualitatives et comportementales avant d’engager des actions.

7. Exemples d’application du CES

Exemple 1 : une plateforme e-commerce qui simplifie ses retours produits

Une grande enseigne de vente en ligne constatait un taux élevé de réclamations liées aux retours. Après avoir mis en place une enquête CES à la fin du processus de retour, elle a observé une note moyenne de 4,2 sur 5, révélant un effort perçu très important.

Les verbatims clients indiquaient une cause récurrente : le formulaire de retour trop complexe et le manque de clarté sur les frais associés. L’entreprise a alors :

  • réduit le nombre d’étapes du formulaire de 5 à 3 ;
  • clarifié les conditions de remboursement dès le départ ;
  • ajouté un suivi automatisé du colis de retour.

Résultat : en trois mois, le CES est passé de 4,2 à 2,6, le taux de satisfaction client a augmenté de +18 %, et les appels au service après-vente ont chuté de 25 %.

Exemple 2 : un service client téléphonique dans la banque

Une banque en ligne souhaitait identifier les frictions dans son service client. Chaque client ayant contacté le support recevait une enquête CES juste après l’appel. Les scores les plus élevés provenaient des demandes de changement d’adresse et de renouvellement de carte.

En analysant les verbatims, l’entreprise a découvert que les clients devaient fournir plusieurs justificatifs papier et attendre un délai de validation trop long. En digitalisant ces démarches via un espace sécurisé, elle a non seulement réduit le CES de 3,9 à 1,8, mais aussi divisé par deux le temps de traitement des demandes.

Exemple 3 : une start-up SaaS qui optimise son onboarding

Une jeune entreprise du numérique mesurait un taux de désabonnement élevé dans les premières semaines d’utilisation de son logiciel. Elle a décidé d’intégrer une question CES dans le parcours d’onboarding : « Il a été facile pour moi de configurer le produit et de commencer à l’utiliser. »

Les résultats ont révélé un CES moyen de 3,5, principalement à cause de la complexité de la configuration initiale. En réponse, la start-up a :

  • ajouté un assistant pas à pas ;
  • intégré une base de tutoriels vidéos ;
  • proposé un chat d’aide instantané pendant la mise en route.

Trois mois plus tard, le CES est descendu à 2,1, et le taux de rétention client a progressé de +30 %.

Exemple 4 : une assurance qui fluidifie ses démarches de sinistre

Dans le secteur assurantiel, où les démarches administratives sont souvent perçues comme complexes, une compagnie a mesuré le CES après chaque déclaration de sinistre. Les clients notaient en moyenne 4 sur 5, pointant du doigt les multiples pièces justificatives à fournir et les délais de validation.

L’entreprise a mis en place :

  • un formulaire en ligne intelligent, pré-rempli avec les données du contrat ;
  • la reconnaissance automatique des documents (pièce d’identité, facture) ;
  • un suivi en temps réel du dossier.

Résultat : un CES tombé à 2,3 et une satisfaction client multipliée par deux. Mais surtout, un gain d’efficacité interne significatif : le temps de traitement moyen d’un dossier a été réduit de 40 %.

8. Comment améliorer son Customer Effort Score (CES)

Cartographier le parcours client pour repérer les frictions

Avant d’agir, il faut comprendre où l’effort se situe. La première étape consiste à cartographier le parcours client (ou customer journey map) afin d’identifier chaque point de contact : navigation sur le site, commande, paiement, service après-vente, réclamation, etc.

À chaque étape, il faut se poser la question : « Quels obstacles empêchent le client d’aller au bout de sa démarche sans aide ? » Cette analyse met souvent en lumière des irritants insoupçonnés : formulaires trop longs, absence d’information claire, ou procédures redondantes.

Simplifier les processus et interfaces

Un client ne veut pas « apprendre » à utiliser votre site ou votre service. Pour réduire l’effort, il faut simplifier au maximum chaque étape :

  • réduire le nombre de clics ou de champs à remplir ;
  • éliminer les étapes inutiles (double validation, connexions répétées) ;
  • clarifier les instructions et les messages d’erreur ;
  • privilégier une navigation intuitive et responsive sur tous les appareils.

L’expérience doit être autoporteuse, c’est-à-dire que le client comprend ce qu’il doit faire sans assistance.

Automatiser les tâches répétitives

L’automatisation est un levier majeur d’optimisation du CES. Quelques exemples concrets :

  • proposer des réponses automatiques intelligentes aux questions fréquentes via un chatbot ;
  • permettre le suivi en temps réel d’une commande ou d’un dossier ;
  • mettre en place un espace client où les informations sont centralisées ;
  • envoyer des notifications proactives pour informer sans que le client ait à chercher.

Chaque automatisation réduit le besoin d’effort manuel et la dépendance au support humain.

Former les équipes à la réduction de l’effort client

Un bon CES n’est pas uniquement le résultat d’un bon design ou d’une technologie performante. Il dépend aussi de la posture des collaborateurs. Former les équipes (service client, commerciaux, techniciens) à anticiper les obstacles, à guider simplement et à rendre l’expérience fluide est crucial.

Une phrase courte, claire et rassurante vaut souvent mieux qu’un long discours technique. L’objectif : résoudre au premier contact, sans transfert inutile ou attente prolongée.

Exploiter les retours clients pour prioriser les améliorations

Les verbatims collectés grâce au CES contiennent des indices précieux. Il convient de les classer par thème (temps d’attente, interface, communication, clarté des tarifs…) pour identifier les irritants les plus fréquents. Chaque friction signalée par plusieurs clients doit être considérée comme une opportunité d’amélioration prioritaire.

En outre, suivre l’évolution du CES après chaque correction permet de mesurer l’impact direct des changements réalisés.

Instaurer une boucle d’amélioration continue

Le CES n’est pas un indicateur ponctuel, mais un outil de pilotage permanent. Pour qu’il serve réellement la performance, il doit s’inscrire dans une démarche itérative :

  • 1. Mesurer
  • 2. Identifier les irritants
  • 3. Corriger
  • 4. Re-mesurer

Certaines entreprises vont plus loin en intégrant des alertes automatiques : lorsqu’un score CES dépasse un seuil critique, un responsable est averti et peut contacter le client pour comprendre le problème.

Mettre en place une culture de la « facilité »

Au-delà des outils, améliorer le CES demande une transformation culturelle. L’entreprise doit faire de la simplicité un principe directeur, du design produit au service après-vente. Cela implique d’adopter une mentalité centrée sur la question : « Comment rendre les choses plus simples pour le client ? »

Cette approche, partagée par toutes les équipes, devient un véritable différenciateur concurrentiel.

9. Conclusion et perspectives

Dans un environnement où les consommateurs attendent des expériences toujours plus simples, rapides et intuitives, le Customer Effort Score (CES) s’impose comme un indicateur incontournable. En mesurant l’effort fourni par le client pour atteindre son objectif, il révèle les points de friction invisibles qui nuisent à la satisfaction et à la fidélité.

Contrairement au NPS ou au CSAT, le CES ne se limite pas à mesurer une émotion ou une intention. Il s’intéresse à un paramètre concret : la facilité d’interaction. Cette approche pragmatique en fait un véritable outil de pilotage, directement actionnable par les équipes opérationnelles, marketing ou service client.

Mais son efficacité dépend d’une condition essentielle : agir sur les enseignements qu’il fournit. Le CES n’a de sens que s’il s’inscrit dans une démarche d’amélioration continue, soutenue par une culture d’entreprise orientée vers la simplicité et la fluidité.

À l’avenir, l’essor de l’intelligence artificielle, des interfaces conversationnelles et de l’analyse prédictive permettra d’aller encore plus loin : détecter automatiquement les signaux faibles d’insatisfaction, anticiper les frictions avant qu’elles n’apparaissent, et offrir des parcours réellement sans effort.

En somme, le CES n’est pas qu’un indicateur de performance. C’est un état d’esprit : celui d’une entreprise qui comprend que la meilleure expérience client, ce n’est pas celle qui éblouit, mais celle qui ne complique rien.

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